• c/o Winds of Hope Foundation, Ch. de Montolivet 19, 1006 Lausanne, Suisse
  • +41 (0)21 320 77 22
  • info@nonoma.org

Non au Noma en RDC

Informations générales

Non au Noma en RDC

Organisation non gouvernementale de développement  enregistrée le 06.09.2008  en République démocratique du Congo

non au noma en RDC

Contact

CENTRE HOSPITALIER PITIÉ SALVATRICE
N° 16 av. Likasi
C/Lukemi /Kikwit II
4ème Rue N° 289
Kinshasa Limete/Industriel
Tel : +243 89 39 353
sadykipasa@yahoo.fr
nonaunoma53@gmail.com

Equipe

Dr Sady Kipasa

Activités

Sensibilisation
Détection
Opérations chirurgicales

Généralités

Non au Noma en RDC Sady

Le Dr KIPASA Sady Salvator a suivi une formation de chirurgien-dentiste, puis en 1998, il a effectué une spécialisation en chirurgie maxillo-faciale à l’université d’Aachen, en Allemagne. En 2002, il a fondé son association Non au Noma en RDC.

L’association  Non Au Noma en République Démocratique Du Congo (AN/RDC) a été créée en 2002 à Kikwit dans la province de Bandundu en Republique Démocratique du Congo (RDC) par  le Dr KIPASA Sady Salvator. Elle a pour objectif de contribuer à la lutte et à l’élimination du noma en RDC.

31. NNRDC

Domaines d'intervention

Opérations chirugicales

63. NNRDC

Le Dr Kipasa parcourt chaque année plusieurs centaines de milliers de kilomètres dans la brousse pour porter secours aux plus démunis et éloignés de tout.

Sensibilisation

  • organisation de campagnes de sensibilisation dans la capitale Kinshasa et dans les provinces périphériques de Bandundu et du Bas-Congo.
  • conférences dans les universités et dans toutes les zones de santé de la province de Bandundu
  • constitution de  sites sentinelles pour la surveillance des nouveaux cas de noma
  • supervision du fonctionnement et approvisionnement des sites sentinelles
  • formations sur l’enrichissement des aliments pour enfants dans chacune des zones de santé.
12. NNRDC

Formation

  • ateliers de formation et de  sensibilisation à la  détection précoce de noma destinés aux infirmiers chefs de zone de santé, aux  responsables socio-culturels, aux autorités politico-administratives et aux professionnels des PCIME (prise en charge intégrée des maladies d’enfance).